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  • L’ensemble de la classe politique espagnole a condamné l’attentat à la voiture piégée qui a provoqué la mort d’un policier, vendredi matin, au Pays Basque espagnol. Il a été brûlé vif dans son véhicule. Selon les médias locaux, la victime, âgée de 49 ans, occupait des responsabilités dans la lutte contre le terrorisme. Alors, dès l’annonce de l’attentat, sans qu’il y ait eu la moindre revendication, tous les regards se sont tournés vers l’organisation séparatiste ETA.

    Le dernier attentat meurtrier d’ETA au Pays Basque espagnol remonte à décembre, quand un homme avait abattu un chef d’entreprise. Mais l’organisation
    avait clairement annoncé un durcissement avec l’arrivée au pouvoir en mai du socialiste Patxi Lopez,
    à la suite des élections régionales. Patxi Lopez avait lui-même affiché son intention, dès son entrée en fonction, de déclarer la guerre à ETA.

    Il s’est de nouveau montré très offensif après l’attentat en promettant “d’en finir” avec ceux qu’il appelle les “canailles” d’ETA. Autre réaction, de Bruxelles, où il participait au Conseil européen, celle du chef du gouvernement espagnol Jose Luis Zapatero. “Nous savions que ce genre d’attaque pourrait se reproduire bien que cette organisation terroriste (ETA, ndlr) soit plus faible que jamais grâce aux actions des forces de sécurité, des juges, des tribunaux et grâce à la coopération internationale, a-t-il commenté. Nous savions que cela pourrait se reproduire et nous ne résoudrons jamais à accepter cela.”

    Le président du gouvernement régional basque Patxi Lopez a appelé à une manifestation samedi à Bilbao “contre ETA et en faveur de la paix et de la liberté”.

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  • L'OM recrute à TF1:

    Pour devenir président d'un club de football en France, il faut passer par la télévision. Après Michel Denisot au Paris SG, Charles Biétry, encore au PSG ou Charles Villeneuve, PSG toujours, l'Olympique de Marseille convoite Jean-Claude Dassier, directeur de l'information du groupe TF1. Ce dernier a "reçu une proposition" pour devenir président de l'OM en remplacement de Pape Diouf.

     

    Jean-Claude Dassier, directeur de l'information du groupe TF1, devrait prendre la succession de Pape Diouf à la présidence de l'Olympique de Marseille. Sauf retournement improbable de situation, sa nomination semblait acquise vendredi à la mi-journée même si elle n'était pas encore officialisée, toutes les signatures nécessaires n'ayant pas été réunies.

    Dans les colonnes du quotidien La Provence de vendredi, M. Dassier expliquait avoir été "contacté par l'entourage de Robert Louis-Dreyfus pour occuper le poste de président de l'OM", "parmi d'autres" personnes. "J'entretiens des liens d'amitié avec Robert et je dois, justement, le rencontrer durant le week-end pour discuter de la situation. C'est une option intéressante mais rien n'est encore décidé", avait-il ajouté.

    Son nom circulait depuis mercredi pour la succession de Pape Diouf dont le départ de l'Olympique de Marseille a été annoncé mercredi au terme d'une crise de gouvernance à la tête du club et après une entrevue à Zurich entre Robert Louis-Dreyfus, principal actionnaire du club, et l'intéressé.

    En dehors de M. Dreyfus, les négociations liées à une éventuelle prise de fonction à l'OM devraient amener M. Dassier, qui se trouvait encore vendredi à la mi-journée dans les locaux de la chaîne, à rencontrer d'autres responsables du club, notamment sportifs. Il a souligné dans les colonnes de La Provence qu'il n'était "pas candidat à l'OM. J'ai un poste qui me convient parfaitement à TF1. J'y prends un réel plaisir. Je ne suis pas demandeur. Le fait que l'OM pense à moi est extrêmement flatteur. J'ai toujours été un admirateur de l'OM".

    Jean-Claude Dassier, 67 ans, travaille à TF1 depuis 1988, un an après la privatisation de la chaîne, et occupe le poste de directeur de l'information du groupe TF1 depuis juin 2008. Il est un proche de Vincent Labrune, président du conseil de surveillance de l'OM. Celui-ci avait d'ailleurs pensé à lui pour ce poste de président de l'instance en janvier 2008.

    "Je me suis rendu très souvent au stade Vélodrome comme supporteur et dans le cadre de mes activités professionnelles", a-t-il encore déclaré à La Provence, "j'adore le foot et le sport en général. Je suis vraiment un amoureux de Marseille et de son football".

    De son côté, le député UMP Renaud Muselier, ancien vice-président de l'OM en 1995 et dont le nom a également circulé comme éventuel successeur à Pape Diouf, a expliqué sur la radio France Bleu Provence qu'il n'était "pas demandeur" pour ce poste et s'investissait plutôt dans ses activités politiques.

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  • Port de la burqa : le gouvernement est divisé

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    Fadela Amara réclame une loi interdisant le port de la burqa, Luc Chatel ne l'exclut pas, Eric Besson y est défavorable. MAM et Nadine Morano demandent le temps de la réflexion.

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    La proposition de commission d'enquête parlementaire sur le port de la burqa ou niqab par des femmes musulmanes en France provoque des voix discordantes au sein du gouvernement, vendredi 19 juin.
    Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a estimé qu'une loi sur le port du voile intégral serait "inefficace et créerait des tensions qui n'ont pas lieu d'être en ce moment".
    "En France, nous sommes déjà allés très loin. Vous ne pouvez pas, quand vous êtes fonctionnaire, vous voiler la tête dans les services publics, ni vous présenter avec un voile à l'école", a-t-il déclaré au micro d'Europe 1.
    "Il faut lutter contre le développement de la burqa mais par l'éducation, la pédagogie, le dialogue. Une loi serait inefficace et créerait des tensions qui n'ont pas lieu d'être en ce moment".

    "Voir plus clair"


    Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, s'est lui prononcé pour une commission d'enquête sur le port de la burqa, afin "d'y voir plus clair sur le sujet pour mesurer l'ampleur du phénomène" et "ensuite prendre les décisions qui s'imposeront". "Pourquoi pas" une loi a-t-il précisé.
    "Si on s'apercevait que, très clairement, le port de la burqa était subi, contraire aux principes républicains, le gouvernement, le Parlement en tireraient toutes les conséquences", a déclaré Luc Chatel sur France-2.
    De même, la ministre de l'Intérieur et des Cultes, Michèle Alliot-Marie, a jugé que le recours à une commission parlementaire sur le port de la burqa était "une bonne façon (...) pour avoir une vision la plus objective possible du phénomène et voir les mesures qu'il convient d'y apporter". "Très attachée à la laïcité", Michèle Alliot-Marie a rappelé que "l'interdiction d'avoir des signes, des voiles, dans l'école était un élément de respect de la liberté de penser de chacun", mais sur "la voie publique, c'est un autre problème".

    VOTRE AVIS SUR LE DEBAT ICI

    LE DROIT DES FEMMES ET DE L HUMAIN COMMENCE ICI....................


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  • Ecoute et danse le temps passe mais pas les chansons

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